La pénétration et l’interconnexion grandissantes des TIC dans tous les domaines de la vie font émerger des potentiels aussi bien économiques que sociaux, auxquels un pays hautement développé et industrialisé comme la Suisse ne peut renoncer. En même temps, la numérisation croissante apporte de nouvelles menaces auxquelles il convient de réagir vite et de manière conséquente. Les préoccupations liées aux cyberattaques visant l’infrastructure informatique ou les dysfonctionnements et mauvaises manipulations de systèmes TIC de la branche de la distribution d’eau concernent aussi bien des organismes publics que les exploitants d’infrastructures critiques, tels que les entreprises de distribution d’eau.
L’approche fondée sur les risques de cette réglementation permet aux distributeurs d’eau de toutes tailles de s’autoévaluer sur la base d’un standard commun à l’ensemble de la branche et d’ajuster leur niveau de protection en fonction de leurs ressources, de leur appréciation des risques et de l’importance de la distribution.
Le présent standard minimum TIC s’appuie sur des bases existantes et éprouvées, telles que l’analyse des risques et de la vulnérabilité de la distribution d’eau de l’OFAE. Selon toute probabilité, la distribution de gaz et la branche des eaux usées intégreront également la nouvelle réglementation dans leurs directives. L’Association des entreprises électriques suisses (AES) a déjà franchi cette étape.
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