L'intégration d'un équipement de la sorte n'est pas nécessaire, puisque les services d'approvisionnement en eau potable fournissent une qualité parfaite aux ménages. L'eau ne nécessite donc pas de traitement supplémentaire. Et un certificat pourrait même donner l'impression qu'un traitement supplémentaire est nécessaire. En outre, dans de nombreux cas, l'efficacité de l'équipement de traitement ne peut pas être vérifiée. Il existe également le risque que les dispositifs réduisent la qualité de l'eau à cause d'un mauvais fonctionnement et d'un manque d'entretien.
Les dispositifs (énumérés de manière non exhaustive) suivants sont concernés par la mesure : les dispositifs d'osmose inverse, les filtres à charbon actif ou les dispositifs avec filtre à charbon intégré, les convertisseurs de calcaire qui ne fournissent pas de preuves d'efficacité selon la feuille de travail DVGW W 512, les doseurs, les appareils de dosage du chlore, les dispositifs d'anode pour la lutte contre les légionnelles par libération d'ions de cuivre ou d'argent, les équipements de récupération d'eau, les dispositifs de lévitation, les appareils d'énergétisation et le matériel pour les traitements rituels de l'eau potable.
Les dispositifs pour la protection des installations continuent quant à eux à être certifiés. Il s'agit ici principalement de filtres à fonctionnement mécanique et de systèmes d'adoucissement de l'eau dont l'efficacité a été prouvée.
Les certificats existants restent valables jusqu'à leur date d'expiration et les demandes de certification qui sont arrivées avant le 31 mars 2015 à l'organisme de certification pour l'eau seront encore traitées. Les certificats seront valables jusqu'au 31 mars 2020.
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